Guatemala, Izabal, Quiriguá
Après une visite du site archéologique de Quiriguá, une plantation de banane s’est trouvée sur mon chemin de retour. L’occasion de me faire taxer toutes mes cigarettes par les employés de l’exploitation, mais d’une manière sympathique. C’est dans ces moments que l’on regrette de ne pas parler la langue du pays. Et j’ai découvert que le transport des bananes se fait pas monorail. Quand vous achetez des bananes dans ces pays producteurs, elles n’ont pas subit de traitement particulier, vous pouvez les conserver longtemps. Celles qui nous arrivent en Europe se dégradent très rapidement après avoir été disposées sur les étals des magasins
Économie de la banane
Source Wikipédia (08.08.2017): « Au niveau macroéconomique, la part du prix final – payé par le consommateur – qui revient dans le pays producteur est de 10 à 20 %. La part des hommes et des femmes qui travaillent dans les plantations est de 1,5 à 3 %. Au Guatemala par exemple, la plupart des salariés de l’industrie de la banane ne gagnent pas le salaire minimum légal de 5 dollars par jour »
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