La fin de l’hiver et le printemps 2020 sont sous le signe de la pandémie du coronavirus, ou la Covid-19, ou encore le SARS-CoV-2. Une crise qui m’est très vite devenue anxiogène. De plus, planqué chez soi et privé de contact social, le temps commence à paraître suspendu. Bref, au bout d’un mois, j’avais besoin de me changer les idées. « L’aventure dans le jardin », cet article, en est la première expression, d’autres devraient suivre prochainement.
Découverte de mon jardin, et de ses plantes, fleurs et insectes (prochain article) dont j’ignore le nom de la plupart. Je ne suis pas un adepte du gazon coupé au cordeau. Le voici en l’état, avant la première tonte du printemps.
Le long du mur nord de ma petite demeure, une bande étroite de 1 mètre sur 8 mètres, totalement à l’état sauvage. Le pissenlit a pris le dessus.
Variations sur une même plante
Lilas, à 6 jours d’intervalle
Lamier pourpre, ou ortie rouge (Lamium purpureum L.)
Ornithogale penché (Honorius nutans (Sm.) Gray)
Véronique commune, ou Véronique de Perse. (Veronica persica Poir.)
Mouron rouge, ou Mouron des champs (Lysimachia arvensis (L.) U.Manns & Anderb.)
Fleurs non identifiées
Bourgeons de vigne
L’intrus
Pissenlit
Pâquerette
Toutes les photographies de cet article ont été prises avec un objectif 100 mm macro. Du 1er au 30 avril 2020, dans mon jardin. À suivre…